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Merci Caen ! 🐆 🐆

Alors que les 32 marins en lice sur la 54e édition de La Solitaire du Figaro Paprec ont quitté le bassin Saint-Pierre dimanche matin après avoir passé une magnifique semaine dans la Ville de Caen, les regards sont désormais tournés vers Kinsale (Irlande), où se jouera le dénouement de la première étape de la course. Si en mer, la bataille est acharnée entre les concurrents, à terre, l’heure est au démontage.


allées du village de caen
©Alexis Courcoux

Les visiteurs sont venus nombreux la semaine dernière à Caen sur le village du Grand Départ de La Solitaire du Figaro Paprec pour admirer les bateaux et profiter des animations proposées gratuitement à tous les publics. Une belle semaine inscrite sous le signe de la voile, de la découverte et du partage, qui s’est conclue en beauté par l’appareillage des bateaux entre 08h15 et 08h30 dimanche.


Si sur l’eau, les Figaristes se livrent une belle bataille depuis le départ de la course, à terre, l’heure est au démontage du village, orchestré par Fabrice Chicot, régisseur de La Solitaire du Figaro Paprec. « Cela prend entre deux jours et deux jours et demi maximum. On a commencé dimanche par la partie exposants et on finira par l’espace partenaires, qui mesure environ 120 m2, hors terrasse. On fera venir trois semi-remorques dès mardi soir ou mercredi matin, qui partiront directement pour Roscoff, où arrivera la 2e étape de la course sachant qu’il n’y aura pas de village à Kinsale », explique Fabrice Chicot. Dès son arrivée en Baie de Morlaix, ce dernier s’attèlera au montage du second village de course, avec les mêmes structures qu’à Caen. « Dès que j’arrive, je commence par tracer au sol le plan que j’ai dessiné avec le chef de projet de la course, mais grandeur nature cette fois. Une fois que c’est fait, les agents techniques n’ont plus qu’à suivre ce plan tracé à la bombe et monter les chapiteaux, avant de faire place aux décorateurs. Cela nécessite une équipe de neuf personnes. Les électriciens effectuent ensuite le raccordement électrique et lumière des stands, avant qu’un dernier sous-traitant ne se charge de l’électrification de l’ensemble du village ». Sachant que le village de Piriac-sur-Mer (Loire-Atlantique) ouvrira ses portes dans la foulée de la fermeture de celui de Roscoff, Fabrice Chicot a prévu d’utiliser « une doublure » pour la dernière ville hôte, afin de respecter les délais impartis. « Le timing entre les deux villages est trop serré pour tout démonter et remonter à temps. On utilisera d’autres stands, ce qui nous permettra de débuter le montage à Piriac-sur-Mer dès que celui de Roscoff sera prêt afin de pouvoir accueillir le public et les partenaires de la course dès leur arrivée ».


De leur côté, les équipes d'organisation sont actuellement en transit pour l'Irlande, où les bateaux sont attendus ce jeudi. Deux bateaux accompagnateurs suivent quand à eux la flotte : le catamaran We Explore de Roland Jourdain, à bord duquel se trouvent Yann Chateau, Directeur de Course de La Solitaire du Figaro Paprec et la jeune Figariste Camille Bertel, embarquée pour la première étape de la course et L'Express, le bateau média.




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